Le cannabis ou la weed, est certainement l’une des drogues les plus consommées, à la fois par les jeunes et par les adultes. La libre consommation de la weed est-elle bonne pour la santé ou au contraire, représente-t-elle un réel danger pour le consommateur ?
Selon l’utilisation en tant qu’herbe
Le cannabis est une substance illicite interdite de vente dans la plupart des pays. Un usage médical de cette drogue est envisagé pour les patients n’ayant plus d’alternatives médicales. Visiter le site renseigné beaucoup plus haut pour plus de détails.
Il est recommandé par des médecins aux patients souffrants de douleurs neuropathiques, d’épilepsie les patients ou ceux victimes d’effets secondaires d’une chimiothérapie. Les médecins se contentent de juste en faire un mélange avec différents aliments nutritifs.
Pour ce qui est d’apporter une réponse définitive au fait que le cannabis soit bon ou mauvais, disons plutôt que c’est l’utilisation qui en est fait qui compte. La weed est jugée illicite, car la majorité de ceux qui en prennent sont exposés à d’énormes risques. En passant par des contractions musculaires intenses et douloureuses, elle peut affecter votre visibilité.
Sur ses éléments, l’on peut déjà s’arrêter sur l’idée qu’elle est mauvaise. Soulignons que ses risques ne concernent que la consommation à l’état brut de la substance.
La weed et ses effets sur la santé
Pour en revenir aux effets de la weed sur l’organisme, elle peut s’avérer aussi dangereuse que le tabac ou l’alcool. Aux nombreux risques que comporte la consommation de la weed, il peut y avoir des troubles de l’anxiété, de la mémoire et même de la personnalité. Ils sont d’autant plus aggravés par une consommation hâtive, c’est-à-dire avant les 15 ans. Les risques sont alors plus importants, car les consommateurs sont menacés par des risques cognitifs souvent, irréversibles. En outre, plus le temps passe, plus le taux de risque lié à la dépendance s’amoindrit.
Au moins 15 personnes sur 100 ont déjà consommé de la weed. Sur cette affirmation, l’on peut déjà supposer que plus d’un quart de la population mondiale a de fortes chances d’être victime de défaillances morphologiques ou neurologiques.